Les sombres
« Les Sombres, elles, ne consacrent aucune couleur, quelques écarts de valeurs sans doute, mais diffus et comme noyés en un tour elliptique. Les Sombres : c’est ainsi que Monique Frydman désigne ses dernières toiles, collectivement, comme les précédentes dames de nage, suite qui forment alors explicitement un corpus. Le même « stratagème » s’y trouve reconduit, de la couleur comme accident du relief : relevé à même le sol d’une jonchée de cordes à l’envers du support, l’artiste usant de la toile libre comme interface. »
Stéphane André.